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Défier la démence – Le balado pour quiconque a un cerveau, par Baycrest


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Défier la démence – Épisode 13 Un écart qu’il faut considérer : le risque de démence plus élevé chez les femmes

Cet épisode de Défier la démence explore les raisons pour lesquelles les femmes courent un risque plus élevé que les hommes d’être atteintes de la maladie d’Alzheimer. D’abord, Angeleta Cox, proche aidante, raconte l’histoire de sa mère, Sonia, ancienne préposée aux services de soutien à la personne, qui a reçu un diagnostic d’Alzheimer en 2017. Ensuite, la Dre Natasha Rajah (Institut de recherche Rotman de Baycrest et Université métropolitaine de Toronto) discute des dernières recherches sur le risque accru de démence chez les femmes et explique ce que celles-ci peuvent faire pour protéger la santé de leur cerveau. Ne manquez pas cet épisode qui regorge de conseils pratiques sur la santé du cerveau pour vous et les femmes de votre entourage.

Defier la démence est une version traduite du balado anglais Defy Dementia. Toutes les voix entendues dans Défier la démence ont été générées par un logiciel à base d’intelligence artificielle.
 
Épisode 13: Transcription

 

Principaux points à retenir

  • La maladie d’Alzheimer touche plus de femmes que d’hommes, indépendamment de leur espérance de vie plus longue.
  • Le stress, les antécédents liés à la santé reproductive et le déclin de l’œstrogène pendant la ménopause peuvent augmenter le risque de démence chez les femmes.
  • Les facteurs associés au mode de vie qui contribuent à réduire le risque de démence peuvent se révéler différents chez les hommes et les femmes. Par exemple, après la ménopause, la pratique de la musculation et le développement de la masse musculaire peuvent s’avérer particulièrement importants pour réduire le risque de démence chez les femmes
  

Ressources


Apprenez-en plus sur nos invités

Angeleta Cox, 49 ans, est agente de programmes aux Services correctionnels de l’Ontario, où elle enseigne aux détenus des compétences professionnelles et des aptitudes à la vie quotidienne. Elle est également copropriétaire de trois restaurants. Angeleta est la principale proche aidante de sa mère, Sonia, une ancienne préposée aux services de soutien à la personne qui a reçu, en 2017, un diagnostic de maladie d’Alzheimer précoce, à l’âge de 61 ans. Angeleta admet qu’elle ressemble beaucoup à sa mère – « une force avec laquelle il faut compter ». Elle est toutefois consciente du risque de démence auquel elle est exposée et veille à sa santé en s’alimentant correctement, en gardant la forme, en méditant, en priant et en gérant son stress. Angeleta est une bénévole de premier plan au sein de la communauté des personnes atteintes de démence. Elle est l’une des fondatrices de la Pan African Dementia Association et est également membre du groupe de travail sur la communauté noire de la Société Alzheimer du Canada, où elle a siégé au sein de plusieurs groupes consultatifs.
 
Natasha Rajah est professeure au département de psychologie de l’Université métropolitaine de Toronto et titulaire de la chaire de recherche du Canada de niveau 1 sur l’influence du sexe, du genre et de la diversité sur la santé et le vieillissement du cerveau. Elle est également membre auxiliaire du corps professoral au département de psychiatrie de l’Université McGill, scientifique adjointe à l’Institut de recherche Rotman de Baycrest et titulaire de la chaire de recherche sur le sexe et le genre des IRSC en neurosciences, santé mentale et toxicomanie. Avant de se joindre au département de psychologie à l’automne 2023, la Dre Rajah était professeure titulaire au département de psychiatrie et membre associée du département de psychologie de l’Université McGill. La Dre Rajah a également occupé des postes administratifs de haut niveau à l’Université McGill, notamment celui de directrice du Centre d’imagerie cérébrale de l’Institut en santé mentale Douglas et de vice-doyenne (affaires académiques) à la Faculté de médecine et des sciences de la santé. Elle a obtenu son doctorat en psychologie expérimentale à l’Université de Toronto (campus St. George) et suivi une formation postdoctorale à l’Institut de neurosciences Helen Wills de l’Université de Californie (Berkeley).